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Le président Donald Trump s’est précipité lundi au milieu d’une course présidentielle serrée au Honduras, avertissant qu'”il y aurait beaucoup à payer” si les responsables électoraux falsifiaient les résultats.
Dans Truth Social, Trump, sans apporter de preuves, a accusé le Honduras de « tenter de modifier les résultats ».
“S’ils le font, ils paieront l’enfer ! Le peuple du Honduras a voté en masse le 30 novembre”, a déclaré Trump.
Les commentaires du président sont intervenus quelques heures après qu’Ana Paola Hall, présidente du Conseil national électoral, ait écrit dans X que le système préliminaire de rapport rapide, qui a commencé à fournir des résultats dimanche soir, avait atteint son terme avec 57% des votes comptés.
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Le président américain Donald Trump prononce un discours lors d’une réunion avec le maire élu de la ville de New York, Zohran Mamdani, dans le bureau ovale de la Maison Blanche le 21 novembre 2025 à Washington, DC. (Andrew Harnik/Getty Images)
Leur recomptage a montré une course serrée entre deux candidats conservateurs, Nasry Asfura du Parti national et Salvador Nasralla du Parti libéral, Asfura conservant une courte avance de quelques centaines de voix seulement. Rixi Moncada, la candidate sociale-démocrate de LIBRE, était à environ 20 points de pourcentage.

Rixi Moncada, candidate LIBRE, est un éminent avocat, financier et ancien ministre de la Défense nationale, (PRESSE ASSOCIÉE)
“Il est impératif que la Commission finisse de compter les votes”, a écrit Trump. “Les votes de centaines de milliers de Honduriens doivent être comptés. La démocratie doit prévaloir !”
Les responsables ont déclaré que le décompte se poursuivrait mais n’ont pas précisé quand les totaux mis à jour seraient publiés, et certaines parties du système en ligne du conseil semblent avoir été supprimées.
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Juste avant le gel, Trump avait soutenu Asfura, le qualifiant de « seul candidat hondurien avec lequel son administration travaillerait et affirmant qu’il combattrait les « narcocommunistes » aux côtés des États-Unis.

Le candidat présidentiel du Parti national Nasry Asfura montre son doigt tatoué après avoir voté aux élections générales à Tegucigalpa, au Honduras, le dimanche 30 novembre 2025. (Photo AP/Moïses Castillo)
Les deux principaux candidats ont souligné le résultat serré comme une preuve de leur avance, même si aucun des deux n’a été près de crier victoire.
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L’annonce de Trump selon laquelle il gracierait l’ancien président hondurien Juan Orlando Hernández, qui purge actuellement une peine de 45 ans de prison aux États-Unis, a également joué un rôle important dans la course, soulignant à quel point la politique américaine peut s’immiscer dans la politique du pays.

Le candidat présidentiel Salvador Nasralla du Parti libéral montre son bulletin de vote lors des élections générales à Tegucigalpa, au Honduras, le dimanche 30 novembre 2025. (Photo AP/Moïses Castillo)
Le dernier avertissement de Trump injecte une nouvelle pression dans un environnement post-électoral déjà hostile. Le résultat déterminera si le pays latino-américain s’éloignera du parti LIBRE au pouvoir et aura un impact profond sur ses relations futures avec Washington.



















