Plus d’une semaine s’est écoulée depuis que les tensions sont montées entre la sensation adolescente barcelonaise Lamine Yamal et le capitaine du Real Madrid Dani Carvajal.
Après le coup de sifflet final de la première Le Clasico Au cours de la saison au Santiago Bernabeu, que les hôtes ont remporté 2-1, il y a eu un échange de mots entre Lamine et Carvajal, qui a déclenché une violente bagarre entre les deux équipes.
Naturellement, l’incident a suscité des inquiétudes quant à la façon dont les deux stars se comporteraient ensemble dans le camp espagnol, d’autant plus que les deux sont des joueurs clés de l’équipe et que la Coupe du monde n’est que dans quelques mois.
Luis de la Fuente n’était pas inquiet
Le sélectionneur espagnol Luis de la Fuente s’est exprimé pour la première fois sur le choc entre Carvajal et Lamine Le Clasico.
Le La Roja L’entraîneur était totalement calme quant à l’impact possible de l’incident sur l’atmosphère du vestiaire de l’équipe nationale. Il estime que le différend entre les deux joueurs réguliers espagnols n’affectera pas la cohésion du groupe.
“Il n’y a jamais eu d’incident, aucun comportement étrange de la part de qui que ce soit. Il n’y a pas de bagarres dans la cour d’école. Il y a un sentiment de famille, d’unité, où le bien commun prime sur le gain individuel. Cela en dit long sur ce groupe de footballeurs.” dit-il.
Pour cette raison, De la Fuente ne voit pas la nécessité d’intervenir ou de servir de médiateur entre eux, comme il l’a noté :
“Je pense que c’est à leurs clubs de parler maintenant ; les gens de leurs clubs sont responsables. J’ai beaucoup parlé avec Lamine, mais aussi avec Dani Carvajal et tout le monde.”
Au lieu de s’attarder sur l’échange passionné de la fin Le Clasicooù les deux joueurs se sont disputés et ont dû être séparés par leurs coéquipiers, De la Fuente préfère se concentrer sur un souvenir plus positif qui, selon lui, reflète mieux leur relation.
“Je me souviendrai toujours du Championnat d’Europe, du centre de Lamine et de la finition de Carvajal, de l’étreinte qu’ils ont eue, de leurs visages, c’est ce qui se passe en équipe nationale. Je suis complètement et absolument convaincu qu’il s’agit du bien commun.” a-t-il conclu.
Source : MARCA


















