L’ONU risque de devenir un organisme « zombie » alors que le manque de financement, la paralysie politique et la méfiance mondiale sapent sa capacité à répondre aux crises et à maintenir la coopération internationale.
L’Organisation des Nations Unies (ONU) risque de devenir une organisation « zombie ». C’est est toujours debout, mais est privé de son efficacité, avertirÉd L’Australian Lowy Institute dans une analyse récente. Le groupe de réflexion met en gardeÉd que la paralysie politique, le sous-financement et la méfiance croissante entre les États membres conduisent l’organisation mondiale dans une période de non-pertinence où la coopération mondiale est la plus nécessaire.
L’article intitulé « Faire face au danger d’un zombie des Nations Unies » affirmeD que la crédibilité et la fonctionnalité de l’ONU diminuent face à des agendas géopolitiques concurrents et à la diminution des ressources. Avec la rivalité des grandes puissances et le refus des pays de soutenir financièrement, la capacité de l’institution à arbitrer les conflits, à répondre aux crises et à faire respecter le droit international diminue.
L’article de l’Interpreter note que le budget de base des Nations Unies stagne, même si les exigences imposées à l’organisation augmentent. Le sous-financement chronique a laissé les missions de maintien de la paix surchargées et les opérations humanitaires de plus en plus dépendantes des contributions volontaires. C’est l’analyse saIDENTIFIANTIl existe un risque que l’ONU devienne un organisme qui « existe mais n’agit pas ».
Il est également soulignéÉd le fossé croissant entre le Nord et le Sud sur la réforme de l’ONU, notamment en ce qui concerne la représentation au Conseil de sécurité. L’incapacité à s’adapter à l’évolution des structures de pouvoir mondiales, associée à un scepticisme croissant à l’égard du multilatéralisme, a conduit à ce que l’article appelle une « crise de légitimité ».
Le jeCommentaire de l’institut Aussi avertirÉd que si les États membres continuent de sous-investir dans le système, l’ONU pourrait bientôt devenir une institution symbolique – une institution avec des idéaux élevés mais une portée pratique limitée. L’analyse nécessite un engagement renouvelé de la part des grandes et moyennes puissances pour réformer la gouvernance et les mécanismes de financement de l’organisation avant qu’elle ne perde la capacité de remplir son objectif fondateur.
Alors que les guerres, les chocs climatiques et les inégalités mondiales mettent à l’épreuve la coopération internationale, l’avertissement de l’interprète est clair : sans un renouveau politique et financier urgent, l’ONU risque de devenir une coquille vide., un corps « zombie » qui exécute les mouvements de la diplomatie sans le pouvoir de faire la différence.
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